Dans la ville, chaque personne, chaque direction invite à de multiples rencontres nous faisant réaliser le nombre infini de possibilités guidant nos vies. Ce phénomène est poussé à son paroxysme en regardant les bâtiments qui composent les villes et leurs quartiers. On peut directement se rendre compte du nombre de vies distinctes qui les occupent. Tant de chemins qui diffèrent composent ces mosaïques urbaines remplies de couleurs. Face à ces géants de bétons qui les abritent, un sentiment d’isolement grandit rapidement en nous. Toutes ces vies sont empilées les unes sur les autres, à perte de vue, chacune d’elle si proche, mais si différentes. Ces bâtiments offrent une vision d’infini si imposante que cela devient presque effrayant.